Restaurant Farmers Organic, ouverture prochaine à Paris. 100% Bio, Big Petit Déjeuner, Brunch, Authentic Lunch, Delicious Pastries, Apéro Bio En savoir plus
Christophe Michalak et Steve Burggraf (fondateur de Big Fernand) annoncent l’ouverture de Polichinelle, un nouveau « buffet de genre ». Ouverture prévue début septembre 2019. Polichinelle c'est un buffet bon, beau et vivant, une cuisine de saison, locale, légumière et ultra gourmande, proposée sous la forme d’un buffet réinventé. Polichinelle sera une adresse spectacle, tant pour les yeux que pour les papilles, qui se tiendra au sein de l’Hôtel Yooma dans le quartier de Beaugrenelle. Vaste, ouvert, chaleureux, avec ses 130 couverts, Polichinelle a été imaginé comme un lieu de rencontre. Designé par l’agence Officine, les banquettes et les tables XXL se partagent en famille ou entre amis. Pour le cadre, ce sera des tons chauds et des matières nobles : le bois rencontre le tissu, le vert rencontre le jaune et la lumière se faufile entre les plantes. Derrière les immenses baies vitrées, on découvre une grande terrasse de plus de 70 couverts, avec vue sur la Tour Eiffel. Et là, trônant sur le restaurant, le plus grand potager urbain de France, cultivé sans pesticides, où Polichinelle fait pousser ses propres plantes aromatiques et légumes saisonniers. Et en pratique ? Un buffet piloté par Christophe Michalak : « on a pensé à tout ce qui nous fait plaisir : de l’œuf parfait aux tomates farcies et leur risotto vénéré, en passant par des beignets de fleurs de courgettes twistés à la fourme d’Ambert... ». Une carte courte, sans viande ni poisson, qui comprendra toujours des légumes farcis, des gratins, des pâtes, des légumes rôtis, des beignets croustillants... Le légume dans tous ses états ! Et pour le sucré ? De l’île flottante ultra légère, à la crème onctueuse au caramel et nougatine pilée en passant par la tarte au mètre décadente, Polichinelle comble les aficionados du dessert, jusqu’à remettre au goût du jour la glace version melba en été et liégeoise en hiver ! Pour les petits gourmands, on se dirige tout droit vers la grosse bassine en cuivre qui renferme des meringues aériennes peu sucrées et cuite à la vapeur. Un buffet contemporain, où le service est assuré par les chefs ! On sélectionne son plat avec les conseils avisés des chefs et on laisse la magie opérer, pour une présentation aux petits oignons. Question cocktails on peut faire confiance à la jeune prodige Jennifer Le Néchet (championne du monde de cocktails 2016, aujourd’hui aux commandes du Mino, à Ménilmontant) qui propose une carte succincte, à forte teneur en alcools français, en fruits, légumes frais et herbes, de saison ainsi que des jus minutes pressés à froid. Surprenants et accessibles, on se fait plaisir avec un mocktail aux fruits de saison. Un délicieux geste sain ! En savoir plus
Le quartier de l’Odéon accueille un second Café Pierre Hermé. Au numéro 126 du boulevard Saint-Germain, non loin de la boutique historique de la Maison, ce deuxième espace de 90m2 est plus vaste et d’autant plus riche en gourmandises ! Poussons les portes et entrons à la rencontre du Café selon Pierre Hermé. Designé par Santillane de Chanaleilles, cette nouvelle adresse à l’atmosphère chaleureuse et colorée rappelle sans nul doute les macarons et pâtisseries de la Maison. Une cinquantaine de places assises dont douze en terrasse permettront de s’accorder une pause savoureuse en observant les passants pressés ou nonchalants, les devantures de lieux historiques, de boutiques chic ou de galeries d’arts. Le décor est planté, la dégustation peut commencer. Entre les mains de Pierre Hermé, le café n’est plus ce « petit noir » corsé, avalé en deux gorgées sur le coin d’un zinc, mais devient une boisson interprétée de mille façons affirmant tantôt son caractère, son identité, sa force ou sa douceur. En virtuose du goût, Pierre Hermé joue avec aisance sur les notes de chaque café, façonnant les arômes, ciselant les goûts, réinventant les textures de cette boisson que nous pensions connaître. Afin de le transformer en précieux breuvage, il sélectionne des cafés d’exception aux côtés d’Hippolyte Courty, fondateur de l’Arbre à Café. Tel que le Iapar rouge du Brésil, puissant et aromatique, aux notes de chocolat, de cannelle et à l’arôme très subtil d’eucalyptus... il exprime la plus noble expression de l’espresso. Le café Signature Pierre Hermé, riche et onctueux, révèle quant à lui des arômes en provenance du Honduras, de la Colombie, ou encore de l’Ouganda, à la fois épicées par les arabicas et biscuités par le robusta. L’Intense, émanant de terroirs multiples - Brésil, Pérou, Afrique et Inde - revendique un corps généreux aux effluves de chocolat, de noisettes, légèrement toasté qui en font le partenaire idéal des boissons contrastées. Pour finir, le décaféiné offre enfin la possibilité aux amateurs d’apprécier toute la complexité et l’onctuosité des nouveaux décaféinés en provenance d’Ethiopie et du Pérou. Un véritable café de plaisir, à la fois complexe et aromatique. Photos : Vincent Bourdon En savoir plus
Ouvert en octobre 1999, le restaurant Hélène Darroze du 4 rue d’Assas avait provisoirement fermé ses portes en juillet dernier pour une rénovation complète, confiée à Patrice Gardera (Gardera-d Architecture). 10 mois plus tard il rouvre sous le nom de Marsan par Hélène Darroze, pour offrir à ses convives une expérience gastronomique exclusive autour d’une salle à manger de 30 couverts, d’une table privative dans la cuisine de 6 couverts et d’une table d’hôtes de 22 couverts ouverte sur l’atelier de création. « Plus le temps passe, plus j’ai besoin de fidélité. Parce que grandir c’est savoir rester fidèle. Fidèle à ses origines, son histoire, ses amis, fidèle à ses valeurs, ses envies et ses rêves. En réinventant le 4 rue d’Assas, j’ai souhaité me rapprocher de mes racines, me concentrer sur l’essentiel : mes producteurs qui m’ont toujours inspirée, le produit juste et vrai, les recettes qui subliment sans tricher... une cuisine instinctive de goûts et d’histoires... En réinventant le 4 rue d’Assas, j’ai eu envie plus que jamais de me mettre à l’écoute de mes émotions... celles liées à mon enfance, à mon éducation dans une famille vouée à l’art du bien recevoir et à donner du bonheur dans ce Sud-Ouest si généreux, mais celles aussi nées de mes rencontres, de mes amitiés, de mes voyages et de mes expériences... Des émotions qui font une sensibilité et qui nourrissent audace et créativité... En réinventant le 4 rue d’Assas, j’ai voulu faire la synthèse de mes connaissances et donner sens à mes rêves en imaginant de nouvelles expériences gastronomiques, aussi exigeantes que vivantes... Une cuisine ouverte, une table de chef, une cave apparente, des dégustations spontanées et partagées... autant de moments à vivre, de plaisirs à découvrir et de goûts à transmettre. En réinventant le 4 rue d’Assas, j’ai décidé de rendre hommage au Marsan, berceau de ma famille, l’endroit où je suis née et où tout a commencé. » Hélène Photos : Maxime Sciard. En savoir plus
Après une rencontre dans le village tunisien de Sousse où leurs grands-mères sont voisines, Alexis Memmi et Alexandre David décident de partager leurs souvenirs d’enfance leur madeleine de Proust, en créant un lieu à leur image : Mabrouk. Célébrant les traditions millénaires de l’Orient et profondément ancré dans l’intense modernité de l’Occident d’aujourd’hui, Mabrouk s’attache à réunir racines multiples et savoir-faire unique. La preuve que l’on peut tout réinventer, sans jamais rien oublier ! Situé au cœur du cosmopolite 3ème arrondissement de Paris, Mabrouk est une cantine, une épicerie fine, une ambassade de quartier à la sauce judéo-arabe pour tous. A la carte, on retrouve les plats emblématiques tunisiens réinventés : les briques thon et œuf ou pommes de terre à l’harissa maison, la mechouia, le lablabi (houmous de Tunis), sans oublier le couscous décliné avec merguez, bœuf, poisson ou nature… Chez Mabrouk, les plats sont faits maison et pensés pour être partagés, avec de nombreuses options végétariennes. Côté sucré, place aux bambalouni, au 1000 et une feuille twisté à la fleur d’oranger ou encore au pamplemousse rose à l’anis ! Le paradis des délices… Coré déco, Mabrouk a été pensé comme un lieu de vie, un voyage des sens où le temps n’a plus d’importance. Ici, pas de chichis ! Les grandes banquettes en tissu gratté invitent à la convivialité et au partage, tandis que l’on retrouve un peu partout des clins d’œil à la Tunisie : grands miroirs, tapis orientaux accrochés aux murs comme dans un souk, céramiques antiques en terre cuite, pots, carreaux de faïence « zellige » autour du bar… Nouvelle version du restaurant tunisien, ludique et fun, Mabrouk mélange les codes pour créer sa propre identité et invite également à sa table les codes de la brasserie parisienne avec les verres ballons ou encore les pichets d’eau sur les tables. En savoir plus
Après Belleville et St Paul, La Cerise sur la Pizza pose ses valises au 14 rue Froissart à l’angle de la rue de Bretagne. Une ancienne et authentique façade de boucherie, une enseigne en néon rouge, un cerisier au milieu des tables et de sublimes illustrations vintage de la trilogie de Marcel Pagnol réalisées par Albert Dubout : voilà le décor 100% chiné, original et chaleureux de cette pizzeria marseillaise ! Pizzeria marseillaise car chaque pizza porte le nom d’un quartier de la cité phocéenne comme la Cannebière : tomate, mozza, anchois, câpres ; la Belzunce : tomate, mozza, merguez, oignons confits, poivrons ou la Bonne Mère : crème fraîche, mozza, poire, gorgonzola, noix, roquette. Des pizzas de 10 à 16€, moelleuses à la pâte aérienne et croquante élaborées avec des produits de qualité directement importés d’Italie. Des recettes originales qui sentent bon le sud à accompagner d’une bière La Cagole de Marseille, d’un bon spritz ou de vins italiens sélectionnés auprès de petits producteurs locaux. En savoir plus
Créé en 1875, le Grand Café, véritable chef d’œuvre Art Nouveau, est le symbole de toute une époque. La même année marque l’inauguration de l’Opéra Garnier, avant l’ouverture de L’Olympia. L’Opéra et les Grands Boulevards sont l’objet de toutes les convoitises mondaines et le quartier des rendez-vous à la mode. Après un opéra ou un ballet, le Tout-Paris vient souper au Grand Café présenté alors comme un “bar américain”, comble du chic à l’époque. L’adresse est un succès. La philosophie du Grand Café Capucines ? Perpétuer et faire revivre les codes qui ont fait le succès et la tradition des vraies brasseries parisiennes, popularisées par l’émergence des Grands Boulevards au XIXe. Une carte qui renoue avec les classiques : pour se faire, les meilleurs producteurs ont été convoqués. Les boucheries Nivernaises livrent une viande d’exception, le MOF Philippe Urraca travaille sur les meilleures coupes glacées, le pain est signé Poujauran. Autre singularité, le chef s’attèle à servir des poissons de pêche entiers selon les arrivages. Les desserts stars : le chef pâtissier Christian Victor s’applique à servir les grands classiques parisiens. À commencer par la pâtisserie emblématique du quartier, un Opéra impeccablement maîtrisé. Le baba au rhum, les profiteroles au chocolat chaud, le vrai fraisier, la gourmande pavlova, l’iconique millefeuille à la vanille feront le plaisir des becs sucrés. Les crêpes Suzette, elles, aiment se donner en spectacle et se faire flamber au Grand Marnier devant le client. Un véritable écailler : Fidèle à sa réputation, coquillages et crustacés débarquent dans la nuit depuis Rungis, où l’on propose la marée la plus fraîche au monde ! Homard canadien, langoustes, tourteaux et palourdes trônent fièrement sur les somptueux plateaux du Grand Café Capucines que les amoureux viennent partager. Un authentique Bar À Huîtres : « Fine de Claire », « creuse de Bretagne », « plate du Belon » ou encore « spéciale de l’Impératrice » : autant d’huîtres singulières qui ont été sourcées chez la crème des producteurs : David Hervé, Cadoret, Joël Dupuch, Gillardeau ou Henry. Un lieu ouvert toute la nuit : Fidèle à sa tradition historiquement festive, le Grand Café Capucines est l’une des rares brasseries parisiennes qui ne ferme jamais... Le service y est assuré non-stop pour assouvir les faims de nuit, pour un dîner tardif après une pièce de théâtre, à la sortie de la dernière séance d’un cinéma du quartier ou à la sortie des clubs... Soupe à l’oignon, escargots de Bourgogne, sole meunière ou filet de bœuf sauce béarnaise et frites maison : toute la carte est méticuleusement servie... jusqu’à l’aube. Photos restaurant : Leny Guetta. Photos plats : Benedetta Chiala. En savoir plus
Depuis plus d’un an, Victor et Charly s’attèlent à faire revivre le secteur de la brasserie typique Parisienne. Avec la Brasserie Bellanger, fini les plats surgelés hors de prix, les lieux poussiéreux et les serveurs insuportables. Épaulés par de grands noms de la restauration, ils ont repensé en intégralité les fondamentaux d’une restauration bien faite. A la Brasserie Bellanger, pas de carte à rallonge, ni de prix mirobolants, mais une base de produits bruts bien sourcés chez leurs producteurs préférés qu’ils réutilisent sur une carte volontairement restreinte. Faire de la qualité au prix juste et promouvoir une agriculture raisonnée, une pêche durable. La boeuf, par exemple, est livrée par Sébastien depuis sa petite coopérative Aveyronnaise labelisée. Cette bovine charolaise est achetée en demi-carcasse puis retravaillée au restaurant pour vendre des pièces qui changent chaque jour et respecter l’équillibre de la bête. Même principe pour le poisson. Marc et sa famille, pêcheurs depuis 4 générations et basés à Ouistreham, assurent des livraisons en direct 3 fois par semaine. Il leur aura fallu parcourir plus de 6 000km sur les routes de nos régions pour trouver les plus belles pépites du terroir français. 100% des produits cuisinés ont été minitieusement sélectionnés pendant plus d’un an. Sans Réservation. Ouvert 7 Jours sur 7 en service continu de midi à minuit. 110 places assises et 30 places en terrasse. En savoir plus
Spécialiste des produits de la mer depuis près de 40 ans, Astara, par ses prix justes et ses recettes modernes, souhaite aujourd’hui initier le plus grand nombre à des produits souvent méconnus et dépoussiérer la dégustation de caviar. À la fois experte et innovante, la marque affiche fièrement sa nouvelle identité dans sa première adresse rue des Petits Champs à Paris. Dans ce lieu décomplexé, Astara apporte un vent de fraicheur aux restaurants de la mer en dénichant les meilleurs produits avec une démarche responsable. En cuisine, se côtoient des classiques de la mer revisités et des plats aux saveurs venues d’ailleurs. En entrée, le chef Arnaud Vachet, imagine entre autres, une raviole farcie à l’esturgeon et merlan servie dans un bouillon dashi, carottes jaunes, enoki, ou un œuf mollet bio, haddock, émulsion de lait d’amande bio, carottes. À retrouver en plat : la fameuse Patate au caviar Astara (au Caviar Baeri à 19¤), les tagliatelles au citron, poutargue et caviar Baeri, twistées à la vodka. Le classique croque-monsieur se transforme ici en croque-caviar aux filets d’esturgeon confit, cream cheese et caviar Baeri. Une formule déjeuner à 24¤ est proposée du lundi au vendredi avec la salade Astara, le croque-caviar ou les tagliatelles au citron et saumon fumé et un café gourmand. Pour la note sucrée, le chef décline l’incontournable baba au rhum dans une version à la vodka, en clin d’œil à la dégustation de caviar ou encore un Fontainebleau accompagné d’un coulis de fruits rouges et d’une meringue craquante. L’expertise d’Astara se retrouve également dans son offre take away avec plusieurs propositions de salades et sandwichs (salade de pâtes au saumon fumé, sandwich au haddock fumé), des boissons et des desserts. Photos plats : ©Anne-Emmanuelle Thion. Photos restaurant : ©Arnaud Rinuccini En savoir plus
Au cœur du quartier du Louvre, à deux pas de la Fondation Pinault, UNO, un restaurant aux doux accents italiens ouvre ses portes. Pour sa nouvelle adresse, le restaurateur David Soussan (Cucuzza et Le Mercier dans le quartier des Batignolles) s’associe à Tripletta pour les pizzas napolitaines aux ingrédients 100% italiens certifiés D.O.P. Accompagnés du chef Julien Chevallier (Semilla, Freddy’s, Justine), ils imaginent leur propre interprétation de la cuisine italienne et proposent des recettes à la fois rustiques et élégantes. La dégustation commence ainsi par un Vitello Tonnato, straciatella, anchois de Cantabrie, ou un Minestrone, pois chiches nouveaux de Sicile. Elle se poursuit ensuite par les plats, où les viandes (Agneau de 7 heures, jus aux olives taggiasche, polenta blanche) côtoient la pêche du jour cuite au barbecue. Mais la star du restaurant UNO est sans conteste la pâte (fraîche et à pizza). Préparées tous les matins sur places, les pâtes fraîches maison sont sublimées dans des recettes gourmandes et créatives telles les Gnocchetti sardi, sauce tomate ou les Tagliatelle au citron & boutargue. La pâte à pizza, travaillée traditionnellement, est quant à elle issue de l’incontournable recette de Tripletta. La large sélection comprend notamment la UNO composée de Fior di Latte, crème d’artichaut, roquette, artichauts à la romaine, parmesan), ou la Carmine (provola, parmesan, pomodorini del piennolo gialli, guanciale, basilic). Ouvert du déjeuner au dîner, UNO est un véritable lieu de vie et de partage. L’après-midi, le restaurant propose une version réduite de sa carte ainsi qu’une sélection de tapas italiens. Côté « vino », la naturalité est de mise, avec une grande sélection de vins nature ou en biodynamie. La carte propose également une sélection de cocktails, classiques ou revisités, dont le Aironegroni (Gin Marcoli, antica formula, airone rosso, bitter plum), cocktail signature de UNO. La décoration, chaleureuse et conviviale est signée DOD (David-OIivier Descombes). Ici, la pièce centrale est la cuisine, volontairement ouverte sur la salle, et plus particulièrement le four à bois. Une atmosphère conviviale se dégage du restaurant où les invités dînent face au pizzaiolo et au chef qui enflamme le barbecue. Photos restaurant : ©Gilles Trillard. Photos plats : ©Nicolas Stajic En savoir plus
Comme à Venice Beach, melting-pot d’athlètes et de gourmands, Maddy's 1906 restaurant coffee shop ouvert toute la journée est le QG californien de Paris. Pourquoi 1906 ? C’est l’année de l’inauguration de la Main Street de Venice beach où s’installèrent ses premiers bars et restaurants. Imaginé à Los Angeles à l’occasion d’une compétition de bodybuilding, Jonathan Jablonski, Bakery chef et Athlète a su réunir chez Maddy's 1906 toutes ses passions. En savoir plus
Après Yaya Saint-Ouen, voici Yaya Secrétan. Deuxième adresse pour Yaya le restaurant de cuisine grecque du top chef Juan Arbelaez. Pitas, tarama, crème de fava, tzatziki, ouzo... sont au rendez-vous du nouveau restaurant Yaya de la Halle Secrétan. Sans oublier son bar à cocktails... En savoir plus
Avec sa boutique qui vient d’ouvrir rue Beaurepaire, l’artisan chocolatier Jadis et Gourmande enchante désormais le quotidien des inconditionnels de L’Est Parisien. Tablettes de chocolat pour un goûter authentique, bonbons de chocolat qui pimp’ la pause café, bouchées gourmandes que l’on passe acheter en famille et que l’on dévore illico-presto, coffrets garnis pour un cadeau d’exception et messages personnalisés que l’on compose avec le fameux alphabet au Gianduja et praliné... tous les délices confectionnés de façon artisanale dans le laboratoire situé aux portes de Paris sont réunis dans cette nouvelle boutique. L’expérience digne de « Charlie et la chocolaterie » ? Déguster un succulent chocolat chaud installé à la petite table d’hôtes trônant au cœur de ce palais des palais sucrés ! Le chocolat chaud Jadis et Gourmande est réalisé avec du lait entier bio, du chocolat noir pure origine qui change tous les jours : Sao Tomé, Ouganda, Madagascar ou Saint Domingue... et, une note de Gianduja pour une délicieuse onctuosité. Tarifs : 2,90 € la tasse de 15cl, et 5,20 € la tasse de 30cl En savoir plus
Chez Magna, Julien Serri importe la street-food napolitaine au coeur de Paris. Magna propose des pizzas portafoglio, des rotolò, et une pléiade de spécialités salées ou sucrées à déguster sur le pouce. En savoir plus
Souvent galvaudées, mal cuites, surgelées, grasses, additionnées de produits chimiques, les frites sont rarement bonnes. Et pourtant, ce petit bâtonnet de pomme de terre frit demeure un des plats préférés des français. Qui n’a pas envie de retrouver le goût authentique et simple d’une frite fraîche maison, croustillante à l’extérieur, moelleuse à l’intérieur, napée d’une sauce onctueuse et goûteuse ? Pont-Neuf La frite française, c’est avant tout le plaisir de déguster à Paris une authentique frite fraîche maison, réalisée à partir de pommes de terres sélectionnées auprès d’un producteur responsable, préparées quotidiennement et cuites dans les règles de l’art dans une graisse de bœuf de qualité. Pour les accompagner, nous proposons de délicieuses sauces, elles aussi, confectionnées maison, sans le moindre conservateur, exhausteur de goût ou produit chimique. Nos accompagnements sont sélectionnés dans le même esprit ou réalisés par nos soins. Qu’il s’agisse du véritable jambon de Paris, du pastrami ou des aiguillettes de volailles sourcés par le célèbre boucher Olivier Metzger, des crevettes, de la salade ou de nos « cuisinés » du moment, nous garantissons une totale fraîcheur des produits et une élaboration artisanale. Pour réaliser nos frites, nous nous fournissons en exclusivité auprès d’un producteur de pommes de terre français. Nous adaptons les variétés en fonction des saisons et travaillons la pomme de terre brute tous les jours. Elles sont ainsi épluchées, lavées et taillées à la main puis cuites au moment dans une graisse de bœuf de grande qualité. Chez nous, aucun agent conservateur ou aucun produit chimique n’est utilisé. La frite est naturelle et c’est aussi pour cela qu’elle est bonne. Pour accompagner nos frites, nous proposons une collection de sauces réalisées par nos soins à partir d’ingrédients frais, bruts et sélectionnés par notre équipe. Là aussi, sans conservateur ni colorant : La « Pont-Noir », notre sauce signature offre l’onctuosité d’une authentique mayonnaise, avec une petite touche iodée qui se marie à merveille avec nos frites. Les sauces classiques, qu’il s’agisse de la mayonnaise, de l’andalouse, du ketchup ou de la béarnaise, sont goûteuses et préparées dans les règles de l’art. Les sauces éphémères sont proposées au fils des saisons et de ce que la nature nous offre : herbes fraîches, piment d’Espelette, champignons, truffes, épices, agrumes... Il s’agit de créations originales, parfois étonnantes et toujours délicieuses. En savoir plus
Quatre ans après son départ pour New-York, le Chef marseillais Frédéric Duca, auréolé d’une étoile en 2013 à l’Instant d’Or signe son grand retour dans la capitale française avec un projet d’envergure et beaucoup plus personnel, Rooster. C’est au 137 rue Cardinet que le nouvel épisode de sa vie de Chef débute. Une belle façade d’angle entièrement vitrée accueille son nouveau terrain de jeux. Toujours à la recherche de bonnes combinaisons et en réflexion permanente, Frédéric Duca sublime les meilleurs produits qu’il peut dénicher. Sa carte se veut courte et fréquemment renouvelée, sur les bases de 3 ou 4 suggestions en entrées, plats et desserts. Au menu, de l’authenticité et des associations audacieuses. Le petit plus de Rooster ? Des cocottes à partager aux associations savoureuses comme celle de l’agneau et des artichauts. En préambule, pourquoi ne pas déguster un cocktail, imaginé par le talentueux Amaury Guyot (Sherry Butt, Dersou) ? Rooster c’est une table d’auteur qui joue sur les influences méditerranéennes et propose un service chaleureux, comme à la maison. En savoir plus
A deux pas de l’avenue des Champs-Elysées, après voir travaillé avec lesp lus grands autour du monde, et un passage dans l'emission Top Chef, le chef Jean-Edern Hurstel ouvre EDERN. Une table bousculant les codes de la gastronomie où l’excellence rime avec l’impertinence et l’esprit festif. Une cuisine d’émotion, respectueuse de la saisonnalité, plaisant aux clients avant de plaire aux cuisiniers. La philosophie : casser les codes. Etre créatif mais disruptif. Gastronomique mais démocratique. EDERN incarne tout cela. Une nouvelle vision de la gastronomie parisienne. Inspirée par la simplicité et l’authenticité pure. Une envie de décontraction. Et un rendez-vous d’épicuriens parisiens et du monde entier. La nuit : passé l’escalier sculptural, EDERN prolonge ses dîners au bar et lounge du sous-sol. Ambiance club. Et déconnexion programmée. De l’ambré des flacons aux photographies noir et blanc, des banquettes relaxantes à l’autre comptoir de bar, l’esprit est à la détente. Lumières design et tamisées, toujours flatteuses. Pour les amateurs, un Cigare Lounge fait la pause parfaite d’après-dîner, et tous profitent des sets de Dj. Ouvert tous les soirs, l’espace peut accueillir jusqu’à 45 personnes et est également privatisable intégralement sur demande. En savoir plus
Polpette, c’est une cuisine venue tout droit du Golfe de Naples : une cuisine authentique, généreuse et faite avec des produits frais. Le restaurant Polpette, à l’image de Naples et de ses habitants, est un endroit où l'on se régale et où l'on partage plus qu’un repas. En savoir plus
Après Ibrik son café du 9ème, Ecaterina Paraschiv ouvre sa deuxième adresse : Ibrik Kitchen, un restaurant où cette native de Bucarest met en avant les spécialités culinaires des Balkans. Derrière les fourneaux du restaurant Ibrik Kitchen, deux chefs roumains : Bogdan Alexandrescu (gagnant du premier concours Masterchef Roumanie en 2012) et Ovidiu Malisevschi (ayant travaillé aux côtés d’Anne-Sophie Pic à la Dame de Pic). Ils vous font voyager le midi avec des plats de cantine de grand-mère : mezze, moussaka, hummus, salade de maquereau, schnitzel de poulet ; Mititei, une indescriptible saucisse sans peau de viande hachée de boeuf, pommes au four. Et le soir avec des plats plus traditionnels : boeuf saumuré, truffe noire de Roumanie ; La Ciorbă : soupe typique a base de chou-fleur, textures croquantes, noix ; goulasch de poulet bohémien, purée de pommes de terres ; feuilles de chou saumurées farcies à la viande de porc, polenta crémeuse ; truite à la braise, purée de topinambour, sauce à l’ail.. En dessert : les papanași, un dessert traditionnel roumain qui se présente sous la forme de beignets sucrés au fromage blanc recouverts de confiture ; un gâteau aux pistaches, glaçage citron ; potimarron rôti au miel de thym, noix et pépins sucrés. Pour accompagner vos plats, une sélection de vins naturels de l’est de l’Europe, et des cocktails créés par Stephen Martin, meilleur mixologiste de France 2009, à base d’alcools des Balkans tel l'Ouzo ou la Mastica. A noter : Ibrik Kitchen vous propose son brunch tous les dimanches. En savoir plus
Substance c'est la rencontre de talents, d'experts, de passionnés. La rencontre de trois hommes, habités d'un rêve commun, celui d'un restaurant où leur passion des produits et des producteurs trouverait à s'incarner. Stéphane Manigold, Matthias Marc, Anthony Pedrosa. Ils sont, dans l'ordre, le restaurateur, le chef et le directeur de salle. Ils ont créé ensemble le restaurant Substance, une table d'auteurs, singulière, à la gastronomie décomplexée. Au cœur de Substance, un trésor, la cave. Infatigable écumeur de vigne, Stéphane Manigold arpente depuis des années, les routes et les domaines, les flacons et les étiquettes, à la recherche de ces vins que l’on dit d’expression. Des vins vivants incarnés par leur terroir aussi bien que par ceux qui les composent. En savoir plus
Mino est à la fois un bar à cocktails et un restaurant méditerranéen. Mino est un lieu chaleureux, convivial, éco-responsable où vous pouvez partager gamelles et cocktails autour d’une table ou d’un bout de comptoir. En savoir plus
Astair est une néo-brasserie du Passage des Panoramas à deux pas des Grands Boulevards où le chef Gilles Goujon, triplement étoilé, revisite des classiques de brasserie. À la carte du restaurant Astair : œuf parfait, os à moelle, cuisses de grenouille, souris d’agneau ; escargots, sole meunière, côte de veau ; Île flottante ; tarte Tatin et crème d’Isigny... Côté déco il fallait bien un des meilleurs designers français pour accompagner un des meilleurs chefs français. Le bar est une des plus belles touches de ce lieu signé Tritan Auer. Une carte de cocktails signature vous fera aussi venir chez Astair pour boire un verre. Crédits photos : Vincent Lerroux. En savoir plus
Et de deux ! Après la première Maison de la Poutine rue Mandar, voici la Maison de la Poutine Parmentier. Même recette que la première adresse à succès, des poutines façon street-food avec la recette classique : des frites, du fromage dit “en grain”, ici du cheddar spécialement réalisé pour La Maison de la Poutine, et une sauce brune à la recette secrète, mais aussi quelques autres recettes originales. La Maison de la Poutine Parmentier est ouvert en continu. En savoir plus
2018, Jean-François Piège devient le troisième propriétaire de La Poule au Pot en reprenant cette adresse mythique de plus de 80 ans. La déco de cette brasserie parisienne reste fidèle au style Art déco : mosaïques, des miroirs et des banquettes en moleskine... côté cuisine, la carte prend un coup de fraîcheur avec des plats inspirés de la cuisine bourgeoise par le chef qu'on ne présente plus. Cuisses de grenouille en persillade, blanquette de veau à l’ancienne, hachis Parmentier joue de bœuf ou encore escargots en coquille, beurre d’escargot, c’est toute l’identité de la cuisine française qui s’exprime à La Poule au Pot. En savoir plus
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