Ouvert en octobre 1999, le restaurant Hélène Darroze du 4 rue d’Assas avait provisoirement fermé ses portes en juillet dernier pour une rénovation complète, confiée à Patrice Gardera (Gardera-d Architecture). 10 mois plus tard il rouvre sous le nom de Marsan par Hélène Darroze, pour offrir à ses convives une expérience gastronomique exclusive autour d’une salle à manger de 30 couverts, d’une table privative dans la cuisine de 6 couverts et d’une table d’hôtes de 22 couverts ouverte sur l’atelier de création. « Plus le temps passe, plus j’ai besoin de fidélité. Parce que grandir c’est savoir rester fidèle. Fidèle à ses origines, son histoire, ses amis, fidèle à ses valeurs, ses envies et ses rêves. En réinventant le 4 rue d’Assas, j’ai souhaité me rapprocher de mes racines, me concentrer sur l’essentiel : mes producteurs qui m’ont toujours inspirée, le produit juste et vrai, les recettes qui subliment sans tricher... une cuisine instinctive de goûts et d’histoires... En réinventant le 4 rue d’Assas, j’ai eu envie plus que jamais de me mettre à l’écoute de mes émotions... celles liées à mon enfance, à mon éducation dans une famille vouée à l’art du bien recevoir et à donner du bonheur dans ce Sud-Ouest si généreux, mais celles aussi nées de mes rencontres, de mes amitiés, de mes voyages et de mes expériences... Des émotions qui font une sensibilité et qui nourrissent audace et créativité... En réinventant le 4 rue d’Assas, j’ai voulu faire la synthèse de mes connaissances et donner sens à mes rêves en imaginant de nouvelles expériences gastronomiques, aussi exigeantes que vivantes... Une cuisine ouverte, une table de chef, une cave apparente, des dégustations spontanées et partagées... autant de moments à vivre, de plaisirs à découvrir et de goûts à transmettre. En réinventant le 4 rue d’Assas, j’ai décidé de rendre hommage au Marsan, berceau de ma famille, l’endroit où je suis née et où tout a commencé. » Hélène Photos : Maxime Sciard. En savoir plus
Créé en 1875, le Grand Café, véritable chef d’œuvre Art Nouveau, est le symbole de toute une époque. La même année marque l’inauguration de l’Opéra Garnier, avant l’ouverture de L’Olympia. L’Opéra et les Grands Boulevards sont l’objet de toutes les convoitises mondaines et le quartier des rendez-vous à la mode. Après un opéra ou un ballet, le Tout-Paris vient souper au Grand Café présenté alors comme un “bar américain”, comble du chic à l’époque. L’adresse est un succès. La philosophie du Grand Café Capucines ? Perpétuer et faire revivre les codes qui ont fait le succès et la tradition des vraies brasseries parisiennes, popularisées par l’émergence des Grands Boulevards au XIXe. Une carte qui renoue avec les classiques : pour se faire, les meilleurs producteurs ont été convoqués. Les boucheries Nivernaises livrent une viande d’exception, le MOF Philippe Urraca travaille sur les meilleures coupes glacées, le pain est signé Poujauran. Autre singularité, le chef s’attèle à servir des poissons de pêche entiers selon les arrivages. Les desserts stars : le chef pâtissier Christian Victor s’applique à servir les grands classiques parisiens. À commencer par la pâtisserie emblématique du quartier, un Opéra impeccablement maîtrisé. Le baba au rhum, les profiteroles au chocolat chaud, le vrai fraisier, la gourmande pavlova, l’iconique millefeuille à la vanille feront le plaisir des becs sucrés. Les crêpes Suzette, elles, aiment se donner en spectacle et se faire flamber au Grand Marnier devant le client. Un véritable écailler : Fidèle à sa réputation, coquillages et crustacés débarquent dans la nuit depuis Rungis, où l’on propose la marée la plus fraîche au monde ! Homard canadien, langoustes, tourteaux et palourdes trônent fièrement sur les somptueux plateaux du Grand Café Capucines que les amoureux viennent partager. Un authentique Bar À Huîtres : « Fine de Claire », « creuse de Bretagne », « plate du Belon » ou encore « spéciale de l’Impératrice » : autant d’huîtres singulières qui ont été sourcées chez la crème des producteurs : David Hervé, Cadoret, Joël Dupuch, Gillardeau ou Henry. Un lieu ouvert toute la nuit : Fidèle à sa tradition historiquement festive, le Grand Café Capucines est l’une des rares brasseries parisiennes qui ne ferme jamais... Le service y est assuré non-stop pour assouvir les faims de nuit, pour un dîner tardif après une pièce de théâtre, à la sortie de la dernière séance d’un cinéma du quartier ou à la sortie des clubs... Soupe à l’oignon, escargots de Bourgogne, sole meunière ou filet de bœuf sauce béarnaise et frites maison : toute la carte est méticuleusement servie... jusqu’à l’aube. Photos restaurant : Leny Guetta. Photos plats : Benedetta Chiala. En savoir plus
Depuis plus d’un an, Victor et Charly s’attèlent à faire revivre le secteur de la brasserie typique Parisienne. Avec la Brasserie Bellanger, fini les plats surgelés hors de prix, les lieux poussiéreux et les serveurs insuportables. Épaulés par de grands noms de la restauration, ils ont repensé en intégralité les fondamentaux d’une restauration bien faite. A la Brasserie Bellanger, pas de carte à rallonge, ni de prix mirobolants, mais une base de produits bruts bien sourcés chez leurs producteurs préférés qu’ils réutilisent sur une carte volontairement restreinte. Faire de la qualité au prix juste et promouvoir une agriculture raisonnée, une pêche durable. La boeuf, par exemple, est livrée par Sébastien depuis sa petite coopérative Aveyronnaise labelisée. Cette bovine charolaise est achetée en demi-carcasse puis retravaillée au restaurant pour vendre des pièces qui changent chaque jour et respecter l’équillibre de la bête. Même principe pour le poisson. Marc et sa famille, pêcheurs depuis 4 générations et basés à Ouistreham, assurent des livraisons en direct 3 fois par semaine. Il leur aura fallu parcourir plus de 6 000km sur les routes de nos régions pour trouver les plus belles pépites du terroir français. 100% des produits cuisinés ont été minitieusement sélectionnés pendant plus d’un an. Sans Réservation. Ouvert 7 Jours sur 7 en service continu de midi à minuit. 110 places assises et 30 places en terrasse. En savoir plus
Souvent galvaudées, mal cuites, surgelées, grasses, additionnées de produits chimiques, les frites sont rarement bonnes. Et pourtant, ce petit bâtonnet de pomme de terre frit demeure un des plats préférés des français. Qui n’a pas envie de retrouver le goût authentique et simple d’une frite fraîche maison, croustillante à l’extérieur, moelleuse à l’intérieur, napée d’une sauce onctueuse et goûteuse ? Pont-Neuf La frite française, c’est avant tout le plaisir de déguster à Paris une authentique frite fraîche maison, réalisée à partir de pommes de terres sélectionnées auprès d’un producteur responsable, préparées quotidiennement et cuites dans les règles de l’art dans une graisse de bœuf de qualité. Pour les accompagner, nous proposons de délicieuses sauces, elles aussi, confectionnées maison, sans le moindre conservateur, exhausteur de goût ou produit chimique. Nos accompagnements sont sélectionnés dans le même esprit ou réalisés par nos soins. Qu’il s’agisse du véritable jambon de Paris, du pastrami ou des aiguillettes de volailles sourcés par le célèbre boucher Olivier Metzger, des crevettes, de la salade ou de nos « cuisinés » du moment, nous garantissons une totale fraîcheur des produits et une élaboration artisanale. Pour réaliser nos frites, nous nous fournissons en exclusivité auprès d’un producteur de pommes de terre français. Nous adaptons les variétés en fonction des saisons et travaillons la pomme de terre brute tous les jours. Elles sont ainsi épluchées, lavées et taillées à la main puis cuites au moment dans une graisse de bœuf de grande qualité. Chez nous, aucun agent conservateur ou aucun produit chimique n’est utilisé. La frite est naturelle et c’est aussi pour cela qu’elle est bonne. Pour accompagner nos frites, nous proposons une collection de sauces réalisées par nos soins à partir d’ingrédients frais, bruts et sélectionnés par notre équipe. Là aussi, sans conservateur ni colorant : La « Pont-Noir », notre sauce signature offre l’onctuosité d’une authentique mayonnaise, avec une petite touche iodée qui se marie à merveille avec nos frites. Les sauces classiques, qu’il s’agisse de la mayonnaise, de l’andalouse, du ketchup ou de la béarnaise, sont goûteuses et préparées dans les règles de l’art. Les sauces éphémères sont proposées au fils des saisons et de ce que la nature nous offre : herbes fraîches, piment d’Espelette, champignons, truffes, épices, agrumes... Il s’agit de créations originales, parfois étonnantes et toujours délicieuses. En savoir plus
Quatre ans après son départ pour New-York, le Chef marseillais Frédéric Duca, auréolé d’une étoile en 2013 à l’Instant d’Or signe son grand retour dans la capitale française avec un projet d’envergure et beaucoup plus personnel, Rooster. C’est au 137 rue Cardinet que le nouvel épisode de sa vie de Chef débute. Une belle façade d’angle entièrement vitrée accueille son nouveau terrain de jeux. Toujours à la recherche de bonnes combinaisons et en réflexion permanente, Frédéric Duca sublime les meilleurs produits qu’il peut dénicher. Sa carte se veut courte et fréquemment renouvelée, sur les bases de 3 ou 4 suggestions en entrées, plats et desserts. Au menu, de l’authenticité et des associations audacieuses. Le petit plus de Rooster ? Des cocottes à partager aux associations savoureuses comme celle de l’agneau et des artichauts. En préambule, pourquoi ne pas déguster un cocktail, imaginé par le talentueux Amaury Guyot (Sherry Butt, Dersou) ? Rooster c’est une table d’auteur qui joue sur les influences méditerranéennes et propose un service chaleureux, comme à la maison. En savoir plus
A deux pas de l’avenue des Champs-Elysées, après voir travaillé avec lesp lus grands autour du monde, et un passage dans l'emission Top Chef, le chef Jean-Edern Hurstel ouvre EDERN. Une table bousculant les codes de la gastronomie où l’excellence rime avec l’impertinence et l’esprit festif. Une cuisine d’émotion, respectueuse de la saisonnalité, plaisant aux clients avant de plaire aux cuisiniers. La philosophie : casser les codes. Etre créatif mais disruptif. Gastronomique mais démocratique. EDERN incarne tout cela. Une nouvelle vision de la gastronomie parisienne. Inspirée par la simplicité et l’authenticité pure. Une envie de décontraction. Et un rendez-vous d’épicuriens parisiens et du monde entier. La nuit : passé l’escalier sculptural, EDERN prolonge ses dîners au bar et lounge du sous-sol. Ambiance club. Et déconnexion programmée. De l’ambré des flacons aux photographies noir et blanc, des banquettes relaxantes à l’autre comptoir de bar, l’esprit est à la détente. Lumières design et tamisées, toujours flatteuses. Pour les amateurs, un Cigare Lounge fait la pause parfaite d’après-dîner, et tous profitent des sets de Dj. Ouvert tous les soirs, l’espace peut accueillir jusqu’à 45 personnes et est également privatisable intégralement sur demande. En savoir plus
2018, Jean-François Piège devient le troisième propriétaire de La Poule au Pot en reprenant cette adresse mythique de plus de 80 ans. La déco de cette brasserie parisienne reste fidèle au style Art déco : mosaïques, des miroirs et des banquettes en moleskine... côté cuisine, la carte prend un coup de fraîcheur avec des plats inspirés de la cuisine bourgeoise par le chef qu'on ne présente plus. Cuisses de grenouille en persillade, blanquette de veau à l’ancienne, hachis Parmentier joue de bœuf ou encore escargots en coquille, beurre d’escargot, c’est toute l’identité de la cuisine française qui s’exprime à La Poule au Pot. En savoir plus
Hélène Darroze, jurée de Top Chef et cheffe étoilée, ouvre Jòia son deuxième restaurant parisien. Jòia, qui veut dire « joyeux » en Béarnais, sa région, propose une cuisine plus simple et accessible que la haute gastronomie à laquelle elle nous avait habitué. Une cuisine qui ressemble à celle qu'Hélène Darroze fait chez elle les dimanches à la maison : des recettes simples qui rappellent le sud-ouest, des tapas ou des petits plats mijotés dans des cocottes. Au restaurant Jòia, un menu unique en deux formules le midi à 24 € (EP/PD) ou 29 € (EPD). Hors menu ca devient vite bien moins abordable. En savoir plus
Le Bon, la Butte, c’est l’histoire de David Polin, Domenico Desiderio Pinto, Raphaël Pierre et Thibaut Passinge, quatre amis qui décident de créer un bistro comme ils aiment, un restaurant chaleureux pour manger et boire de bons plats. Le chef David Polin dans sa cuisine ouverte propose une carte mélangeant des classiques de la gastronomie française et des plats plus bistronomiques. En savoir plus
A l'Ascension, restaurant tenu par Adrian Amar, ancien du Pavillon Ledoyen de Yannick Alléno, la cuisine est simple, brute et le produit est au centre de ses créations. La cuisson est pour lui essentielle dans la réussite d’un plat. Tout est calibré et réfléchi pour arriver à proposer des assiettes percutantes, saines et gourmandes. Le tout accompagné de sauces dont seul le chef a le secret et qu’il maîtrise à la perfection. L'Ascension : une cuisine d’instinct travaillée avec les produits du marché. En savoir plus
Besoin de vacances? Les Tourteaux vous offrent une évasion en plein coeur de Paris. Le restaurant vous accueille au déjeuner, vous pourrez déguster des produits de la mer (mais pas seulement), installés confortablement dans ce qui semble être une cabane de plage. Le soir, l'ambiance monte en même temps que la marée : partagez des tapas autour d'un cocktail ou un verre de muscadet avec quelques huîtres pour un afterwork iodé. Souriez, vous êtes au bord de la mer. En savoir plus
Ducasse sur Seine, l’alliance de l’hospitalité, de la technologie et de l’élégance pour des croisières exclusives et innovantes. Citysurfing, Ducasse Paris et la Caisse des Dépôts donnent naissance à une expérience inédite de croisière sur la Seine avec le premier bateau 100% électrique à Paris, amarré rive droite, au port Debilly, dans le 16e arrondissement. Une réalisation qui associe innovation et hospitalité à la française. Ducasse sur Seine vous invite le temps d’une croisière au déjeuner et au dîner à vivre l’expérience d’une immersion inédite au cœur de Paris, capitale de l’art et de la culture le jour, Ville Lumière la nuit. La croisière ‘Déjeuner sur Seine’ évoque les œuvres iconiques des musées qui jalonnent le parcours. Le soir, au cours de la croisière ‘Nuit étoilée’, le bateau se faufile en silence dans la ville illuminée et termine son parcours au pied de la Tour Eiffel. Menus de 95 à 250 € L’après-midi, le restaurant Ducasse sur Seine ouvre sa terrasse, et propose une pause gourmande « Sous le ciel de Paris ». Un goûter généreux composé de bouchées salées et sucrées, d’une boisson chaude, d’une coupe de Champagne ou d’un verre de vin. L’occasion de profiter d’un moment de détente entre amis ou simplement pour regarder les berges vivantes et animées, avec une vue imprenable sur la Tour Eiffel. Menu pause gourmande : 35€. Crédit photos plats : Pierre Monetta. En savoir plus
Julien Ross et Alexandre Giesbert (Daroco, Roca...) associés à Romain Glize, transforment le Zebra Square en Zebra. Le mythique restaurant du quartier de la Maison de la radio prend un coup de jeune. Une cuisine qui met à l'honneur les plats typiquement français remis au goût du jour : saucisson bio du Jura poché ; terrine ; œuf de poule bio pané boudin de Quintoa croustillant et pommes ; Os à moëlle ; Moules marinières ; poissons ; salades composées... Le restaurant Zebra propose également une sélection de coquillages et de crustacés. Pour les déjeuneurs tardifs, une carte snack avec omelettes, croque-monsieurs etc est proposée entre les deux services. Coté vins, le Zebra dispose de plus de 150 références à la cave. Et pour les cocktails on retrouve une nouvelle fois les créations du mixologue Nico de Soto. Lors des beaux-jours une centaine de couverts sont dressés en terrasse. En savoir plus
Rillettes de lieu jaune, maquereau mariné, tartines, planches, saucisson, crème caramel... voilà ce que l'ardoise peut proposer au restaurant L'Attache. Un bar à vin où le bon manger et le bon vin, des petites assiettes à partager, de la convivialité sont les ingrédients de L'Attache, ce troquet à la croisée des quartiers Bastille et Père-Lachaise. En savoir plus
Aux Bons Crus, un vrai bistrot parisien, un petit coin tranquille, une cuisine des familles, soignée, simple et généreuse. Ici, pas de nostalgie fabriquée pour les touristes mais tout ce qu’il faut pour passer un bon moment entre amis. Aux Bons Crus c'est une authenticité que confirme la plaque bleue et rouge du label « Les Routiers », une institution connue des amateurs de bonne chère pour ses haltes « lèche-babines » éparpillées le long des routes de France. Comme le dit la devise : « Une halte chez un routier, c’est l’assurance d’un bon repas peu coûteux ! » En savoir plus
NESO, le nouveau restaurant du chef médiatique Guillaume Sanchez à Paris. Après avoir tout juste fermé son restaurant Nomos du 18ème arrondissement, Guillaume Sanchez, chef bad boy connu pour avoir été le candidat tatoué et arrogant de l'émission Top Chef 2017, remet le tablier rue Papillon dans le 9ème. Ce chef passioné raconte une histoire dans chaque assiette, travaille les produits pour les sublimer. NESO c'est une cuisine du marché qui propose des plats tel que : carottes d'août et aujourd'hui confites en concentration d'eau de pomme de terre, rafraîchies à la lavande sauvage ; huître chaude, fermentation de sapin des lacs de Wolfgang oka, confit au cresson ; lieu jaune, Ikijime, cendré, fumet d'arêtes crémé. Menu 7 plats 90€ (145€ accords mets et vins). A la carte : environ 120€. En savoir plus
Pilgrim est le second restaurant de Hideki Nishiu, chef japonais étoilé depuis 2016 avec le restaurant Neige d'été, situé à quelques pas de là. Aux commandes du restaurant Pilgrim, le chef Terumitsu Saito (ex Mandarin Oriental Paris, ex Blue Valentine), accompagné de la cheffe pâtissière Marie Blanche Robillart (ex Hexagone) pour les desserts. Pilgrim propose une cuisine néo-gastronomique, en sublimant les meilleurs produits français sublimés de touches japonaises. Pas de carte mais un menu dégustation de saison, en fonction des arrivages, autour de cinq à six assiettes, accord mets et vins si l'envie vous en dit. Quelques assiettes ce soir là : tartare de bœuf, chips et purée de betteraves ; œuf mollet façon tempura, crème panais et truffe généreuse ; saint-pierre, bouillon de coquillages ; canard à la betterave ; tourteau, granny smith, piment d'Espelette ; Mont-Blanc. L'étoile c'est probablement pour bientôt. A l'image des chefs japonais, l'exigence est dans l'assiette et le dressage précis. La déco est minimaliste et discrète, en contraste avec la belle et grande cuisine ouverte, sûrement une des plus belles vu cette année. Conseil : choisissez les places au comptoir pour profiter du spectacle. En savoir plus
Le Mermoz propose une cuisine de bistro de haute volée autour des Champs-Elysées. Aux commandes des cuisines du restaurant Mermoz, Manon Fleury, jeune cheffe passée par l'Astrance et Semilla, et cela se ressent dans l'assiette. Le soir on passe en mode bar à vins avec des petites assiettes à partager : Mulet noir mariné, clémentines fenouil ; Lotte de Saint Gilles, blé vert, barba dei frati ; ou bien Foie gras vapeur, chou grillé, citron de Sicile... par exemple. En savoir plus
À la tête du restaurant étoilé Qui Plume La lune (Paris 9ème) depuis 2010, le Chef Jacky Ribault s’installe début 2018 dans l’îlot Fontenay, en plein cœur de Vincennes, et ouvre son deuxième restaurant gastronomique : L’Ours. Côté carte, le restaurant L'Ours propose une cuisine gastronomique, faite avec sincérité et passion, véritable voyage d’ici et d’ailleurs. Les produits sont choisis avec un soin tout particulier : poissons de petits bateaux traditionnels, légumes bio, produits locaux d’île de France, large choix de vins allant des grands classiques aux vins naturels ou en biodynamie. Pas de carte, des menus improvisés chaque jour en fonction des arrivages. Menus : 45€, 75€, 105€. Accord mets et vins : 55€/65€. Coté déco, le restaurant L'Ours est à l'image de son Chef… Ambiance « Eclectique Chic », entre cabinet de curiosité soft et chic gastro. Un univers assez onirique et poétique se confrontant à une certaine brutalité des matières. Les 300 m2 offrent une vaste salle de 30 couverts, un espace boudoir, une magnifique cave et une cuisine ouverte avec la table du Chef pouvant recevoir 6 convives. En savoir plus
Exit La Pulperia, bienvenue à Automne, restaurant dont la cuisine du chef japonais Nobuyuki Akishige se veut traditionnelle avec une pointe de créativité. Automne et un bistro-gastro de quartier, simple et quali, qui met à l'honneur les beaux produits français. En savoir plus
Repris en 2018 par Mathieu Pacaud et Laurent de Gourcuff, le restaurant Apicius figure parmi les plus belles tables de Paris. Le chef Mathieu Pacaud ré-enchante les classiques, assume la haute gastronomie, le style français et la noblesse des produits comme une modernité. A la pâtisserie de l'Apicius, dans le même élan, Jérôme Chaucesse signe son grand retour avec une pâtisserie généreuse et gourmande. Pour la déco, François-Joseph Graf donne un coup de fraîcheur à la grande salle de l'Apicius et aux petits salons en conservant l'équilibre entre volume grand siècle et effets contemporains. Menu découverte : 180€. Menu truffe, caviar et homard : 280€. A la carte, plats : 75/105€. Le bar à cocktails est ouvert de 18h00 à 2h00. En savoir plus
Dans l'atmosphère propre aux brasseries parisiennes de la Brasserie d’Aumont, l’équipe du Chef Justin Schmitt accueille les voyageurs et Parisiens oisifs avec une cuisine intemporelle typiquement française inspirée d’un passé encore proche. Grâce à son approche discrète et moderne, ainsi qu’à la créativité de son chef, la Brasserie d’Aumont propose des plats traditionnels remis au goût du jour. Le chef a revisité par exemple un plat qui figurait au menu proposé par l’hôtel en 1910: la tête de veau sauce Orly. Situé au cœur de l’hôtel, la Brasserie d’Aumont propose des ingrédients et des produits régionaux soigneusement choisis, dont certains sont introuvables à Paris, comme une variété unique d’huîtres du nord de la Bretagne. La passion pour l’art du Chef Justin Schmitt lui a non seulement permis de se forger une expérience culinaire originale, mais a aussi joué un rôle fondamental dans la façon dont il a conçu un itinéraire culinaire complet à l’intention des gastronomes parisiens et des voyageurs du monde entier. Dans son menu, les saveurs et les formes se mêlent pour susciter le plaisir du palais comme celui des yeux. En savoir plus
Chez Buffet, on a de belles assiettes, de bonnes bouteilles et de bonnes banquettes de moleskine, on est bien dans un bistro. Christopher Edwards (anciennement Au Passage) propose une cuisine traditionnelle de bistro. L'ardoise de Buffet : un menu entrée-plat à 16,50€ et 19€ avec le dessert au déjeuner, et des assiettes entre 5€ et 15€ au dîner. En savoir plus
Le Piaf, restaurant bar pour la jeunesse branchée et dorée. Laurent de Gourcuff règne en maître depuis plus de deux décennies sur les lieux de nuit des beaux quartiers : Castel, le Raspoutine, le Yoyo pour les plus connus. Dans la restauration également depuis quelques années avec des adresses comme Monsieur Bleu, Loulou... Il fallait un lieu pour réunir les deux activités de cet entrepreneur dans l'événementiel. Le Piaf l'a fait. Le Piaf est un restaurant avec un bar à danser au sous-sol. La cuisine du restaurant Le Piaf est française, traditionnelle. Pour les desserts les pâtisseries sont signées Cyril Lignac. Côté déco, Le Piaf vous embarque dans une atmosphère feutrée, des banquettes en velours rouge, une lumière tamisée relevée par des chandeliers. Côté prix, comptez au moins 50€ à la carte. En savoir plus
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publié par Comlan A. 55 ans, Parakou leJe m'engage à vous apporter mon aide que ce soit de prés ou de loin quelque soit vos besoins
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