Hélène Darroze, jurée de Top Chef et cheffe étoilée, ouvre Jòia son deuxième restaurant parisien. Jòia, qui veut dire « joyeux » en Béarnais, sa région, propose une cuisine plus simple et accessible que la haute gastronomie à laquelle elle nous avait habitué. Une cuisine qui ressemble à celle qu'Hélène Darroze fait chez elle les dimanches à la maison : des recettes simples qui rappellent le sud-ouest, des tapas ou des petits plats mijotés dans des cocottes. Au restaurant Jòia, un menu unique en deux formules le midi à 24 € (EP/PD) ou 29 € (EPD). Hors menu ca devient vite bien moins abordable. En savoir plus
Yaai Thaï vous ouvre les portes de la cuisine traditionnelle et authentique Thaïlandaise. Entre décor authentique, qui rappelle les ruelles animées de Bangkok, échoppes colorées, enseignes animées, odeurs parfumées, carte aux milles saveurs, cuisine ouverte, le dépaysement est total et l’immersion assurée. Au menu chez Yaai Thaï, tous les codes de la cuisine thaïlandaise, cuisinés aux woks sous vos yeux à la minute : brochettes de poulet mariné, salade de papaye, Pad Thaï, currys, soupes parfumées, sautés, riz gluant à la mangue... En savoir plus
Le Bon, la Butte, c’est l’histoire de David Polin, Domenico Desiderio Pinto, Raphaël Pierre et Thibaut Passinge, quatre amis qui décident de créer un bistro comme ils aiment, un restaurant chaleureux pour manger et boire de bons plats. Le chef David Polin dans sa cuisine ouverte propose une carte mélangeant des classiques de la gastronomie française et des plats plus bistronomiques. En savoir plus
Créé à Monaco en 2005 par Riccardo Giraudi, Beefbar est déjà présent à Monaco, Hong Kong (étoilé Michelin en 2017), Mexico, Dubaï, Cannes, Mykonos, Budapest et bientôt à Rome. Cette antithèse du steakhouse doit son succès international à un approvisionnement en direct des meilleures viandes du monde, cuisinées sans complexe entre grill et street food de luxe inspirée des recettes du monde entier, le tout dans une atmosphère aussi décontractée que glamour. Mais également au design du duo Humbert & Poyet qui signe l’ensemble des restaurants en harmonie avec leur ville d’implantation et l’histoire du lieu d’origine. A Paris, c’est dans le 8ème arrondissement, sous les ors de l’ancienne Fermette Marbeuf, que le restaurant Beefbar ouvre ses portes. Un projet qui a nécessité une attention particulière, de l’envergure architecturale aux recettes exclusives, et qui fait la fierté de Riccardo Giraudi. En savoir plus
Après plus d'un an de travaux le 9ème étage du Printemps accueille Perruche, un restaurant bar rooftop. Derrière cette adresse branchée qui associe touristes et parisiens on retrouve Julien Ross et Alexandre Giesbert (Daroco, Zebra..) en association avec Laurent de Gourcuff et Gilles Malafosse (Monsieur Bleu, Loulou, Girafe...). Au restaurant Perruche on y mange une cuisine classique des nouvelles brasseries avec des plâts comme buratta, risotto truffe blanche, poulpe, entrecôte, raviolis de Giovanni, quasi de veau... Au bar à cocktails on y boit les drinks de Nico de Soto et parfois on y danse. Quand le soleil est au rendez-vous, le rooftop de 500 m2 avec sa vue époustouflante sur tout Paris en font un lieu incontournable de la capitale. En savoir plus
Un décor dans l’esprit années 30, une cuisine marine contemporaine et une terrasse ravageuse. La table du restaurant Girafe se doit d’être heureuse, souple, inscrite dans les saisons comme dans les penchants de l’époque. Un mélange de simplicité et d’opulence, de gourmandise et de belle urbanité. Design : Joseph Dirand. Photos : Adrien Dirand. En savoir plus
Et de trois ! Après avoir ouvert leur première crêperie parisienne dans le Marais, puis à Odéon, les bretons du Breizh café ouvrent une troisième crêperie à Montorgueil. Le Breizh café est une crêperie proposant des recettes originales qui vous changeront de la traditionelle complète jambon-œuf-fromage. Au sous-sol se trouve une jolie « cave à cidre » ouverte de 18h à 1h et un petit salon pour y prolonger la soirée. En savoir plus
Mokko est un restaurant façon néo-bistrot à l’arrière de Montmartre. Au menu du restaurant Mokko : cuisine du marché. Le Chef Arthur Hantz affiche un menu différent à chaque repas, en fonction des arrivages. Pour les plus joueurs, laissez-vous tenter par la formule Nourrissez-moi, un menu à l’aveugle avec un amuse-bouche, trois plats et un dessert. Bonne dégustation ! Uniquement le soir. Plats ~15€. En savoir plus
Le Caulaincourt est un restaurant à la cuisine travaillée et de saison. Coté déco, le restaurant Le Caulaincourt vous accueille dans un espace végétalisé et lumineux par sa grande verrière. Coté ambiance l'atmosphère est musicale et festive, vous pourrez poursuivre la soirée au bar du Caulaincourt après y avoir dîné. Formules les midis 18/20€ (jeudi et vendredi uniquement). Carte le soir, plats 12/25€. En savoir plus
A l’angle de la rue Ramey et de la rue de Clignancourt, La Traversée est un petit bistrot de quartier à l’arrière de Montmartre à la cuisine moderne et raffinée. Au déjeuner, une formule entrées, plats et desserts du jour qui évoluent au fil des saisons. Le soir, façon bar à manger, le restaurant La Traversée propose des petites assiettes gourmandes à partager entre amis. Découvrez également une belle sélection de vins bios et naturels choisis ainsi que des bières artisanales brassées dans le quartier. Service jusqu’à 22h30, le bar est ouvert jusqu’à 02h. En savoir plus
Dans cette atmosphère où l’on retrouve les notes Art Déco, les contrastes se multiplient pour donner à ce lieu une identité unique. Le marbre s’invite aux tables et le velours prend place sur les assises. Les formes géométriques se mêlent avec harmonie et les jeux de lumière se succèdent comme sur une partition. Les yeux se lèvent pour admirer la sculpture en sycomore blanchi longue de 16m traversant la pièce et reliant la terrasse au patio. Lieu aux dimensions phénoménales avec ses 240 places assises et ses 150 couverts répartis sur trois sublimes terrasses, Le Collectionneur sait se rendre intime par des espaces que l’on partage ou que l’on choisit de privatiser. Trois salons accueillent entre 30 et 60 personnes. Les portes en albâtre font et défont ces écrins au grès des envies et des humeurs des clients, découvrant à chaque fois un cadre différent. Née de l’envie d’étonner et rythmée par les saisons, la carte du Collectionneur est une rencontre gustative orchestrée par les chefs Joël Veyssière et Nicolas Amelin. Les alliances étonnantes se mêlent aux icônes de la gastronomie française qui ouvre ses portes aux saveurs venues des quatre coins du monde. Une identité culinaire que les deux chefs ont imaginée autour des valeurs qu’ils partagent. Entre créations, revisites et mariage des genres, le plaisir est au cœur de cette cuisine généreuse et contemporaine. Ouvert tous les jours, Le Collectionneur propose un menu à 48 euros le midi et à la carte le soir. Les propositions se renouvellent au fil des saisons, accompagnées de la création du jour, suggérée par les Chefs Veyssière et Amelin. Chaque semaine, le menu du moment est une invitation à découvrir les saveurs atypiques d’une cuisine aux inspirations plurielles où les produits de saison sont à l’honneur. Pour son ouverture, Le Collectionneur invite à sa carte un sashimi de daurade royale, marinade yuzu-gingembre, tahini et pickles de navet daïkon, un « œuf parfait » au boulgour aux agrumes et nuage de cresson, des classiques de la mer comme le homard sauce saté et sa déclinaison de maïs en 3 textures : purée, pop corn et version mini, ou la lotte snackée et condiment moutarde-miel ainsi que des viandes sublimées comme l’agneau accompagné de caviar d’aubergines et quetsches ou « La picaña » de bœuf et son gratin de pommes de terre au beurre de cacahuètes, sauce chimichurri. Cette saison, le « Végétarien » est un bijou gustatif sous la forme de cannelloni au caviar de courgettes et champignons, nappage au parmesan et jus végétal. À la fin du repas, la collection de desserts se dévoile : le finger chocolat noisettes comme un brownie, l’indétrônable Baba revisité à la crème Nyango, ou encore les mirabelles au Muscat, glace vanille et fenouil. Un assortiment de fruits frais est proposé pour terminer en fraîcheur et en délicatesse. Une sélection de gourmandises signées Christophe Michalak est également présente à la carte. Au fil des mois, les spécialités se succèdent pour rester actuelles et donnent rendez-vous aux amateurs de liaisons délicieuses. Au Collectionneur, l’instant se savoure autant dans l’assiette que dans le lieu. Le bar : à l’entrée du restaurant, se présente un lieu intimiste où l’instant se vole et le plaisir se déguste. Autour d’un bar en granite long de sept mètres, la convivialité s’installe et se diffuse aux quatre coins de cet espace lounge. La carte est une mosaïque des genres, réunissant des cocktails de légendes et des créations spontanées et singulières. Le traditionnel Mojito côtoie Le Vanille, un subtil mélange de tequila infusée à la vanille, lait et sirop de cardamome noire ou encore le Umai, intéressant breuvage à base de Whisky japonais infusé à la cacahuète et sirop de sucre Muscovado. Dans sa collection de spiritueux, les plus belles cuvées répondent aux désirs des palais les plus aiguisés et le Ruinart Blanc de Blancs s’impose comme un incontournable. En savoir plus
A l'Ascension, restaurant tenu par Adrian Amar, ancien du Pavillon Ledoyen de Yannick Alléno, la cuisine est simple, brute et le produit est au centre de ses créations. La cuisson est pour lui essentielle dans la réussite d’un plat. Tout est calibré et réfléchi pour arriver à proposer des assiettes percutantes, saines et gourmandes. Le tout accompagné de sauces dont seul le chef a le secret et qu’il maîtrise à la perfection. L'Ascension : une cuisine d’instinct travaillée avec les produits du marché. En savoir plus
Après East Mamma, Ober Mamma, Mamma Primi, Biglove Caffé, Popolare puis Pink Mamma, le groupe Big Mamma ouvre La Felicità. 3500 m² et 1000 m² de terrasse, ce qui en fait le plus grand restaurant au monde. 1000 places assises, 5 cuisines, 1 boulangerie, 1 caffetteria, 3 bars et 2 trains comme clin d’oeil à l’histoire du lieu. La Felicità se situe dans la Station F, le plus gros incubateur de start-up au monde ouvert en 2017 sur l’idée de Xavier Niel bâti dans l’ancienne Halle Freyssinet, un bâtiment ferroviaire construit dans les années 1920 qui abrita la halle des messageries de la gare d'Austerlitz jusqu’en 2006. Au menu de La Felicità : les classiques du groupe Big Mamma : pizzas napolitaines, pastas maison mais aussi paninis, viandes grillées, burgers et... des cocktails. A noter que ce sont les burgers du fameux Au Cheval à Chicago, élu le meilleur burger aux USA. Pour les résidents de Station F le restaurant La Felicità sera ouvert 24h/24, 7j/7. En savoir plus
Les deux sœurs Katia et Tatiana Levha du restaurant Servan situé quelques mètres plus haut dans la même rue réitèrent avec le restaurant Double Dragon, accompagnées d’Antoine Villard (ex-Septime et Fulgurances). Double Dragon est un restaurant à la cuisine asiatique de comptoir épicée où il faut venir tôt pour trouver une place, pas de réservations possible. Mais pas de panique ! c’est une cantine, et donc ça tourne vite. Menu unique le midi (16,50 €) à la carte le soir. Tofu farci sauce XO ; Rouleau de printemps au paleron de bœuf, Shiso ; Maïs grillé au BBQ, cacahuètes et piment s’affichent sur le menu. En savoir plus
Besoin de vacances? Les Tourteaux vous offrent une évasion en plein coeur de Paris. Le restaurant vous accueille au déjeuner, vous pourrez déguster des produits de la mer (mais pas seulement), installés confortablement dans ce qui semble être une cabane de plage. Le soir, l'ambiance monte en même temps que la marée : partagez des tapas autour d'un cocktail ou un verre de muscadet avec quelques huîtres pour un afterwork iodé. Souriez, vous êtes au bord de la mer. En savoir plus
Ducasse sur Seine, l’alliance de l’hospitalité, de la technologie et de l’élégance pour des croisières exclusives et innovantes. Citysurfing, Ducasse Paris et la Caisse des Dépôts donnent naissance à une expérience inédite de croisière sur la Seine avec le premier bateau 100% électrique à Paris, amarré rive droite, au port Debilly, dans le 16e arrondissement. Une réalisation qui associe innovation et hospitalité à la française. Ducasse sur Seine vous invite le temps d’une croisière au déjeuner et au dîner à vivre l’expérience d’une immersion inédite au cœur de Paris, capitale de l’art et de la culture le jour, Ville Lumière la nuit. La croisière ‘Déjeuner sur Seine’ évoque les œuvres iconiques des musées qui jalonnent le parcours. Le soir, au cours de la croisière ‘Nuit étoilée’, le bateau se faufile en silence dans la ville illuminée et termine son parcours au pied de la Tour Eiffel. Menus de 95 à 250 € L’après-midi, le restaurant Ducasse sur Seine ouvre sa terrasse, et propose une pause gourmande « Sous le ciel de Paris ». Un goûter généreux composé de bouchées salées et sucrées, d’une boisson chaude, d’une coupe de Champagne ou d’un verre de vin. L’occasion de profiter d’un moment de détente entre amis ou simplement pour regarder les berges vivantes et animées, avec une vue imprenable sur la Tour Eiffel. Menu pause gourmande : 35€. Crédit photos plats : Pierre Monetta. En savoir plus
Julien Ross et Alexandre Giesbert (Daroco, Roca...) associés à Romain Glize, transforment le Zebra Square en Zebra. Le mythique restaurant du quartier de la Maison de la radio prend un coup de jeune. Une cuisine qui met à l'honneur les plats typiquement français remis au goût du jour : saucisson bio du Jura poché ; terrine ; œuf de poule bio pané boudin de Quintoa croustillant et pommes ; Os à moëlle ; Moules marinières ; poissons ; salades composées... Le restaurant Zebra propose également une sélection de coquillages et de crustacés. Pour les déjeuneurs tardifs, une carte snack avec omelettes, croque-monsieurs etc est proposée entre les deux services. Coté vins, le Zebra dispose de plus de 150 références à la cave. Et pour les cocktails on retrouve une nouvelle fois les créations du mixologue Nico de Soto. Lors des beaux-jours une centaine de couverts sont dressés en terrasse. En savoir plus
Sanjo est un néo bistrot de ramen situé non loin d'Opéra, dans le Little Tokyo de Paris. De belles petites assiettes sublimement dressées, rien d'étonnant pour un ancien styliste reconverti en cuistot. Sanjo ne prend pas de réservations. En savoir plus
En plein cœur du 11ème arrondissement, Blitz est un restaurant accueillant et lumineux avec sa grande baie vitrée donnant sur le square Maurice Gardette. Des comptoirs ici et là, une grande tablée, des banquettes colorées… À 2, à 4, à 10, Blitz s’adapte à toutes les humeurs et à toutes les envies ! On y partage les plats de la carte très « middle-east », des verres, on regarde dans l’assiette du voisin et on lui parle même à l’occasion. Blitz a sa cuisine ouverte sur la salle où les plats sont préparés à la vue de tous… Une invitation à la découverte de différentes cultures, au mélange et au partage. En savoir plus
B.O.U.L.O.M (La Boulangerie Où L'On Mange) c'est le nouveau restaurant concept de Julien Duboué (Dans les Landes, A Noste). De l'exterieur BOULOM une boulangerie traditionnelle, mais derrière la porte se cache un restaurant façon buffet à volonté. Oh non... pas le buffet-cantine qu'on pourrait trouver sur les aires d'autoroute, mais une version moderne revisitée. Dans un grand loft de 500m2 de grandes tables d'hôtes permettent de recevoir une centaine de personnes. Au milieu, un îlot central où sont disposés des plats en libre service. Pour 29€ le midi et 39€ le soir vous pourrez vous servir parmi la cinquantaine de préparations des chefs Mathieu Robillard et Hervé Dober, des recettes qui sentent bon le sud-ouest : terrines maison ; fruits de mer ; rôti de porc ; roulé de jambon à la macédoine de légumes ; œufs mimosa, saucisses de canard ; poulet rôti ; jarret de boeuf bourguignon ; ribs barbecue ; sardines grillées ; polenta crémeuse ; fromages au lait cru, tarte au chocolat ; poires belle-Hélène ; babas à l’armagnac ; crêpes Suzette flambées à l'armagnac... Seul regret, impossible de goûter à tout en une seule fois, il faudra repasser. Le restaurant BOULOM fait également boulangerie-pâtisserie, du pain bio, des sandwichs, des desserts... Et à l’étage se cache un bar à cocktails clandestin. Boulom ne prend pas de réservation. Brunch les samedis et dimanches de 12h à 16h (39€ avec boissons). En savoir plus
Rillettes de lieu jaune, maquereau mariné, tartines, planches, saucisson, crème caramel... voilà ce que l'ardoise peut proposer au restaurant L'Attache. Un bar à vin où le bon manger et le bon vin, des petites assiettes à partager, de la convivialité sont les ingrédients de L'Attache, ce troquet à la croisée des quartiers Bastille et Père-Lachaise. En savoir plus
Après le succès d'Uma Nota Hong Kong, le restaurant nippon-brésilien installe sa deuxième adresse à Paris. Situé dans un ancien magasin du XIXème siècle de la rue Réaumur, le restaurant Uma Nota Paris est situé sur deux niveaux et dispose d'un bar convivial. Uma Nota Paris, rappelle les clubs de salsa de Rio de Janeiro. Sans prétention, ouvert d'esprit, chaleureux et animé, Uma nota est un lieu à part grâce à son atmosphère, ces petits plats type street food, l’authenticité de ses boissons et son design. Associant le savoir-faire japonais aux ingrédients frais brésiliens, cru, en brochette ou bien à partager, chacune des recettes reflète les saveurs de São Paulo. Les plats signatures sont le ceviche amarillo préparé avec du vivaneau, des crevettes roses, du calamar mariné avec du leche de tigre, de l’aji amarillo et du coriandre. Les coxinhas sont des dumplings brésiliens frits composés de poulet & d'okra accompagnés d’une sauce chili faite maison. À goûter avec les mains. En savoir plus
Bar Déviant, la nouvelle adresse d'Arnaud Lacombe et de Pierre Touitou ! Leur avant-comptoir à deux pas de leur restaurant Vivant, leur premier restaurant. Chez Déviant, pas de chaises ni de tables, mais de bons vins et de bonnes petites assiettes façon tapas entre 5 et 20€. En savoir plus
L’Abysse un comptoir-à-sushis moderne dans un décor ultra-contemporain au Pavillon Ledoyen. Confié par Yannick Alléno à Yasunari Okazaki, maître sushi japonais expatrié pour l’occasion. Le restaurant L’Abysse présente des nigiris en menus ou en omakasé, avec autour moult petits plats modernes reflétant à l'envi la personnalité du chef parisien, ainsi que l’une des plus belles cartes de sakés en France. Côté cadre, Laurence Bonnel-Alléno rassemble, au sein de ce lieu inondé de clarté pensé comme en boite blanche, un banc d’artistes contemporains internationaux dont Tadashi Kawamata et William Coggin pour un décor à l'épure nippone mêlant force et douceur. Pour ceux qui souhaitent être installé au comptoir, notez qu'il n'y a que 12 places. Crédits photos : Sébastien Véronèse. En savoir plus