Retrouvez désormais tous nos bons plans sur notre compte Instagram 
Suivez-nous sur Instagram
Kate, William, Duff et Stewart forment les Monkeys Crashers. © Pierre de Reimpré

Vous passez une soirée tranquille à l'Acte 3 et, tout d'un coup, un convoi de jeunes gens bien sapés débarquent avec cadeaux et cocktails. Les Monkey Crashers, collectif noctambule à tête de singe, préparent une série de hold-up festifs dans une sélection de bars et clubs parisiens.

Ils sont quatre. Kate, préposée aux cadeaux, William, à la musique, Duff et Stewart, aux cocktails. Vêtus de costume ou tailleur, ils déboulent en van dans la nuit et font irruption dans les lieux les plus courus de la capitale. Leur but ? Bousculer les soirées parisiennes "plan plan". Munis de mystérieuses mallettes noires, ils dégainent alcool et gadgets. Leurs énormes têtes de gorille donnent le ton de ces hold-up décalés ; à les voir, l'envie de se marrer. On a suivi la troupe à l'Acte 3 puis au Bus Palladium pour leur première virée, le 3 mai. Du côté des cadeaux, on a vu passer des miroirs de poche et des boutons de manchettes. Du côté des cocktails, une profusion de mojitos au whisky. C'est la folie pressante au bar pour obtenir un de ces mélanges un peu particuliers. William, le dj, s'incruste sur scène et y met un peu de son grain de sel. Bien apprêté sous son costume gris et sa tête de singe, on se met à avoir chaud pour lui mais on se met surtout à danser. L'intervention des Monkey Crashers ne révolutionne pas la nuit, il faut le dire, mais elle a le mérite de rendre la vie plus douce.

Pour connaître leur itinéraire, on s'inscrit sur www.monkey-crashers.com

Monkeys Crashers
Monkeys Crashers

Crédit photos : Pierre de Reimpré.

A lire aussi

Robert Crumb, le pionnier de la bande dessinée underground s'expose au Musée d'Art Moderne

Préparez-vous aux hold-up festifs des Monkeys Crashers !

Le Daily Syrien, la nouvelle station Falafel de Paris

Monumenta 2012 : Daniel Buren promet d'être Excentrique(s)

Télescope : la dignité du café restaurée

Le Palais de Tokyo, bilan après la réouverture