Jonathan J.

Jonathan J.

39 ans - Boissets, France

Agenda

Jonathan J. n'a pas encore d'événement de prévu.

Avis

Jonathan J.
1/5
Le Yoyo 13 avenue du Président Wilson, 75116 Paris, France

Je suis allé à l'afetrwork du YOYO le 11/02/2016, qui était apparemment le premier et j'espère que ce sera le dernier!!
Je crois bien, qu'en fait c'est le pire afterwork auquel je suis allé et je vais détailler les différentes raisons :

1 : C'est une énorme escroquerie :
L'event commençant à 19h, nous étions à l'heure mais à notre grande surprise il y avait déjà 200m de queue et les oragnisateurs ont eu la bonne idée de commencer à faire rentrer les gens à 20h au compte goute. Du coup nous somme arrivés dans la salle à 20h30, nous avons ensuite faire 20 min de queue au bar pour obtenir une coupe de crémant (et non pas de champagne) puis le temps de prendre 2 morceaux de crudités (et je n'exagère pas du tout en disant cela) car il n'y avait plus de petits fours. A 21h l'open bar et le buffet étaient fermés....... nous avons donc payer 20€ pour faire une heure et demie de queue prendre une coupe de crémant et manger 2 morceaux de carotte. l'art de prendre les gens pour des idiots

2 : l'organisation pitoyable :
Dans la salle, il y avait 2 bars avec un total de 7 serveuses...... pour plus de 1 300 personnes. Du coup c'était un vrai combat pour obtenir une bière à 10€ (la bouteille heineken de 25 cl), surtout que les serveuses étaient très jeunes et pas du tout professionnelles (on aurait plutôt dit des étudiantes qui servaient pour la première fois de leur vie). Et le plus énervant c'est de voir un organisateur derrière elles, les cheveux longs, gominés, ressemblant trait pour trait à un MACRO des années 80, collé au mur les bras croisés, surveillant chacun de leurs faits et gestes...... mais ne bougeant pas le petit doigt. horrible!!!!

3 : musique beaucoup trop forte et beaucoup de trop de monde :
Dés le début de la soirée la musique est très très forte et il est impossible de pouvoir discuter entre amis. Il était ensuite impossible de danser tellement nous étions collés les uns aux autres.

publié le