H-BURNS & THE STRANGER QUARTET + GRIMME
concert Paris

H-BURNS & THE STRANGER QUARTET + GRIMME

Événement publié par ParisBouge

date et heure

de 20:00 à 23:30

tarif

21,00€

style

variété française chanson

infos

Ça fait longtemps que les chansons de Leonard Cohen accompagnent le rocker français H-BURNS et constituent pour lui un patrimoine à chérir, à transmettre. Il y a d'abord eu ces moments, durant l'enfance, où son père jouait Suzanne au coin du feu lors de soirées entre amis. Bercé par les albums folk du Canadien, H-BURNS a lui-même grandi en tant qu'artiste en apprenant ses classiques. Lors de sa première tournée, en 2005-2006, il lui arrivait ainsi souvent d'interpréter sur scène Chelsea Hotel. Dix ans plus tard, en vacances pendant plusieurs semaines dans un Montréal enneigé, c'est naturellement qu'il s'est livré à un pèlerinage quotidien. Oui, chaque jour, il s'est rendu dans le Plateau Mont-Royal, le quartier général du chanteur canadien, s'est baladé devant la maison de celui-ci, visitant aussi le parc du Portugal là où, il y a près d'un demi-siècle, un guitariste flamenco a appris à Cohen ses premiers accords. Je passais devant sa maison qui avait toujours les volets fermés. Et puis, le dernier jour de mon séjour, les volets se sont ouverts et la maison était allumée. Comme un symbole . Quelques mois plus tard, Leonard Cohen s'est éteint, laissant orphelins toutes celles et tous ceux qui ont vu la lumière dans ses chansons et un mode d'emploi poétique afin de mieux appréhender le quotidien, la vie, l'amour. Pour H-BURNS, perdre un membre éminent de son panthéon personnel - où figurent également Bob Dylan et Bruce Springsteen - a été un choc. C'est peut-être à ce moment qu'a germé l'idée de lui rendre, un jour, un hommage appuyé.

Grimme comme une échappée onirique et imaginaire. Grimme comme des éclats colorés qui transfigurent un monde morne et balayent la violence des ses mécanismes d'exclusion. Grimme comme une peinture cérémoniale et guerrière. Celle de ses origines
ancestrales les Lakotas, peuple amérindien.
Derrière le masque se cache Victor Roux, trentenaire idéaliste, touche-à-tout et jusqu'auboutiste
dans ses élans créatifs. En 2017, il se retranche dans son salon pour écrire son premier album, The World is all wrong but it's all right. Il s'empare ensuite des manettes du disque du complice Eddy La Gooyatsh et s'acoquine avec Chaton , puis Ben Mazué pour offrir quelques titres à la chanteuse Pomme.

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