JOHNNY OSBOURNE & THE HOMEGROWN BAND
concert Paris

JOHNNY OSBOURNE & THE HOMEGROWN BAND

Événement publié par ParisBouge

date et heure

de 21:00 à 23:55

tarif

non précisé

style

Soul

infos

Véritable légende du reggae! Vocaliste hors-pair dans la lignée des grands soulmen américains, sa venue est un évènement pour tous les amoureux du reggae roots.



Rocksteady, roots, lovers ou digital, Johnny Osbourne s'est approprié tous les styles avec la même intensité.
Comme Dennis Brown, Burning Spear ou Bob Marley, élus touchés d'une grâce mystique, Johnny Osbourne est l'auteur d'un répertoire unique composé de chansons emblématiques de l'Histoire du reggae. Dix-neuf albums et une myriade de singles alimentent depuis 50 ans les sélections des followers de Mr Buddy Bye Bye, génial initiateur du Ready or not des Fugees. Juste de retour en France après une éclipse de 20 ans (!), cet astre de la constellation reggae est accompagné du Homegrown Band,


En presque un demi-siècle de carrière, c'est comme si Johnny Osbourne avait eu plusieurs vies : témoin privilégié de l'évolution de la musique jamaïcaine, il a connu la naissance du reggae, du dancehall, puis du digital.

Sa carrière est ponctuée de nombreux hits qui resteront à jamais des références incontournables dans l'histoire du reggae.

Très discret depuis la fin des années 90, le Jamaïcain fait son grand retour, amorcé en 2012 au Garance Reggae Festival.
Depuis, il fait retentir son dancehall aux quatre coins du monde et se fend de collaborations plus que pertinentes, à l'image du titre « Independant Music » enregistré avec le collectif de hip-hop électro Chinese Man ou encore avec « Jah No Partial » en collaboration avec Major Lazer.

Détenteur d'un catalogue de tubes inépuisable, Johnny Osbourne traverse les époques et reste en 2018, l'artiste de scène de premier plan qu'il était déjà en… 1968 !

“Le Jamaïcain Johnny Osbourne fait son grand retour... Le natif de Kingston, très discret depuis la fin des années 90, avait amorcé son grand retour en 2012 au Garance Reggae festival. Il fait désormais retentir des sonorités DanceHall aux quatre coins du monde, dans les grands festivals français mais aussi, en 2014, sur l'album The Groove sessions des français Chinese Man. Détenteur d'un catalogue de tubes inépuisable, dont le retentissant, « Truths And Rights », enregistré en 1979, Johnny Osbourne a traversé les époques sans prendre une ride. Il reste en 2018, l'artiste de scène de premier plan qu'il était déjà en… 1968.” Le Parisien


Johnny Osbourne débute sa carrière à la fin des années 60 en tant que chanteur principal d'un groupe baptisé The Wildcats et enregistre pour Winston Riley. Leur premier single à sortir, "All I Have Is Love" sera toutefois enregistré chez un certain Coxsone Dodd pour Studio One. En 1969, il enregistre l'album « Come Back Darling » pour Winston Riley avant d'émigrer au Canada. Il chante ensuite avec différents groupes, dont Ishan People avec qui il enregistrera deux albums, puis finit par revenir en Jamaïque en 1979.

Retour gagnant : il se met à beaucoup enregistrer, notamment pour Studio One qui donnera naissance à l'album « Truth And Rights », devenu depuis un classique, avec des morceaux comme le titre éponyme ainsi que "Jah Promise". L'année suivante, il enregistre pour King Jammy l'album « Folly Ranking » qui rencontre également un grand succès. Pendant près d'une décennie, Johnny Osbourne sera très populaire et très demandé. Il enchaînera les singles et les hits produits par la crème des producteurs : « No Ice Cream Love » , « Water Pumping », « Buddy Bye », « In The Area », « Good Time Rock »… La transition des années 90 sera plus difficile, et son dernier album en date remonte à 1994, « Sexy Thing ».

Après un long moment d'absence, les massives auront eu le plaisir de retrouver Johnny Osbourne au Garance Reggae Festival 2012. Depuis, l'artiste n'en finit plus de se produire dans nos contrées, faisant découvrir ou redécouvrir tous ses hits, souvent aux côtés de son compère Lone Ranger , et avec une popularité toujours intacte. En 2014, on entendait le vétéran sur "Independent Music" de Chinese Man, et également avec "Can't Take the pressure" sur une production du label Bent Back Records.

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