Googoo muck party ::The Hillbilly Moon Explosion
concert Paris

Googoo muck party ::The Hillbilly Moon Explosion

Événement publié par ParisBouge

date et heure

du à 19:00
au samedi 25 mai 2013 à 01:30

tarif

11.70 €

style

Pop Rock

infos

"A rock'n'roll party with a blend of twisted teenage screaming fuzzbusters, wailing soul & other psych punk pounders..."

La crise du disque? Who gives a fuck?

Certainement pas les sémillants helvètes de Hillbilly Moon Explosion, qui aux premières lueurs de 2013 livrent déjà leur troisième album depuis 2010, le moment où ils ont trouvé en France un territoire tout prêt à se laisser conquérir par leur rockabilly with attitude, et leur rock'n'roll décomplexé, qui emprunte ses codes aux fifties et ses façons à l'indie combatif des années 2000. Après un début de carrière dans les méandres de l'underground à visée vintage germanophile, et Après un début de carrière dans les méandres de l'underground à visée vintage germanophile, et quelques disques confidentiels, le combo de la sémillante Emanuella Hutter et de l'élastique Oliver Baroni a changé de plateau en signant en France sur The-Freed : tournées intenses,promotion, passages radio, Olympia et Zéniths en première partie de Jeff Beck, festivals majeurs (Paleo à Nyon, Cosmic Trip à Bourges, Rebellion Punk Festival à Londres…), et donc une théorie d'albums chaleureusement accueillis : Raw Deal en 2010, avec l'hymne « Johnny Are You Gay » et les reprises décoiffantes de « Poupée de Cire, Poupée de Son » et de « Chick Habit » (« Laisse Tomber Les Filles », encore une pépite gainsbourienne revue et anglicisée par April March). Puis Buy, Beg Or Steal en 2011, avec cette fois un sort jeté à « Enola Gay » d'Orchestral Manoeuvre, et au rayon des originaux une liste incluant « My Love For Ever More » (et son désormais légendaire clip Nuit du Chasseur version 2.0), ou le délicieux « Nastacia »…Pour ce nouvel opus, ils font cette fois un sort au standard « Perfidia », dans une version chaloupée rocksteady inspirée de celle de Phyllis Dillon. Ils revisitent également « I Hear You Knocking » du bluesman octogénaire Lazy Lester, l'inventeur ou presque du blues laid back, dont ils recarossent la chanson façon garage band, avec abondance d'écho sur la voix et de distorsion grasse sur la guitare. Et enfin la chanson de saloon « Goldmine », empruntée au groupe cowpunk Beat Farmers, qui sévissait à San Diego dans les années 80.

Source : digitick

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